Valorisation et interprétation du patrimoine

Le Parc a pour mission la protection, la mise en valeur, la sensibilisation au patrimoine naturel et bâti du sud-Aveyron, et au-delà à l’archéologie et au patrimoine immatériel.

Il favorise les activités de découverte, participe à la réalisation de passerelles entre culture et paysage, à la mise en place d’outils d’interprétation, à la réalisation d’aménagements…

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La Vallée des Respirs

Le long de l’itinérance en Vallée du Tarn, l’artiste Bruno Mercet a imaginé, en co-production avec le Parc des Grands Causses, l’installation de 5 plateformes de contemplation du paysage.

Conçues sous la forme d’un tapis de yoga et d’un coussin zafu, modulées à chaque station, ces plateformes invitent à ralentir le rythme et à ouvrir en grand les yeux pour saisir l’essence de chaque sous-unité paysagère : vallée fleurie, vallée urbaine, vallée sèche, vallée noyée, vallée enchantée, laissez-vous glisser…

 

Le mot de l'artiste :

L’idée était de créer une connexion entre l’art et l’artisanat afin de privilégier la rencontre, l’échange, la valorisation des  savoir-faire et le partage des sensibilités. J’ai pris un réel plaisir à jouer le « maitre d’œuvre » (clin d’œil à la profession de mon père) et d’avoir pu mener à bien et jusqu’au bout mon idée de départ. Car c’est bien là tout le processus qui est intéressant et enrichissant pour aboutir aux pièces attendues qui j’espère trouveront leur respiration dans la vallée et satisferont le promeneur dans sa pause contemplative. Et si ces pièces existent aujourd’hui, c’est bien grâce aux artisans et aux personnes suivantes qui m’ont soutenu, aidé de près ou de loin à les réaliser et à les installer.

Je veux remercier :

Roxanne, Fabien, Sébastien, Alexandre  et toute l’équipe du PNRGC, Philippe Tellier, Benoit Lacombe, Philippe Cochard, Claude Barascud, Nicolas Palchine, Philippe et Mathieu du Fablab, l’entreprise Pourquié, Victor Bertrand, Sylvie et Jo, mes parents, Cyrille Soulié, Vincent Legrand, Denis Cabiron, Cédric Rajadel, Frédéric Jeannot, Quentin Simon.

 

 

 

"L'enfant joli" version Kamishibaï


Les Grands Causses publient une adaptation du conte de Jean Boudou par Clémentine Magiera, sous forme de kamishibaï, à l’attention du jeune public et des écoles.


Le kamishibaï ? Dans la tradition japonaise, c’est ce qui conte ! Il s’agit d’un petit théâtre de papier, façon castelet, où s’insèrent des planches illustrées au recto et légendées, pour le narrateur, au verso.
Le kamishibaï « L’enfant joli » créé par la conteuse Clémentine Magiera, assistée de Muriel Flouriot, se compose de quinze planches empreintes de féérie, avec le Causse Noir pour décor.
80 exemplaires sont en cours de distribution auprès des bibliothèques et médiathèques du territoire, ainsi que dans les écoles du Millavois, de la vallée du Tarn et du Causse Noir. Les équipes pédagogiques qui le souhaitent peuvent emprunter un castelet en bois - un butaï - au siège du Parc.

 

Des bruits et des sons dans le Rougier

 

A découvrir : le documentaire sonore, à l’écoute des paysages des Rougiers, "Echoes"


Amélie Agut, artiste chercheuse de sonorités et bruit-colleuse, a sillonné les chemins des Rougiers à la collecte de sons, de témoignages d’habitants, de fragments de voix, de bruitages pour composer un documentaire sonore de 45 minutes qui vient évoquer les paysages physiques par l’oreille. Ce documentaire est une sorte de road-movie poétique, un audio-guide atypique, une expérience sensorielle.

A l'écoute des paysages des Rougiers by Echoes

 

Carnet de voyage sur le Larzac

 

"Dessus dessous" l'un des Causses les plus emblématiques, Le Larzac.

 

Stéphanie Laffite et Sophie Bataille nous proposent de les suivre sur ce camin étroit entre pierres et plantes, brebis et hommes, entre quotidien et imaginaire du dessus au dessous de ce pays rugueux. Le camin passe par des étapes, lieux emblématiques ou plus secrets, par des
rencontres, et par les rêves qu'il leur a offerts.